La peur de l’échec peut être paralysante. Cependant, vous savez ce qui est encore pire ? La peur de continuer à échouer, surtout après avoir encaissé un gros coup dur.
L’important est de s’être levé après la chute
Si vous vous mettez au défi de grandir sur le plan créatif, émotionnel ou même physique, à un moment donné sur votre chemin, vous allez trébucher. Il peut s’agir d’un faux pas mineur, d’un véritable flop ou de quelque chose entre les deux. Une chute n’est pas définitive si vous ne restez pas au sol. Un exemple tout simple : quand nous trébuchons et que nous tombons en pensant nous être cassé quelque chose. Cela m’est arrivé très récemment…
Je n’arrêtais pas de saisir des parties de mon corps pour m’assurer que tout était intact. Dès que j’ai réalisé que oui, j’allais vraiment bien, je me suis tourné vers mon groupe de spectateurs paniqués et j’ai dit : » Regardez. Je n’ai pas encore fini. Je veux y retourner. Tout de suite. »
Les échecs (c’est-à-dire les défis, les leçons, les erreurs, les cadeaux, quel que soit le langage que vous préférez) sont garantis. Le plus important, cependant, n’est pas le fait que vous ayez trébuché. Ce qui compte le plus, c’est ce que vous faites immédiatement après.
Ne laissez pas un flop vous convaincre que vous êtes un raté
Parce que les décisions que vous prenez lorsque vous êtes à terre déterminent la hauteur à laquelle vous finirez par voler, ne donnez pas à la peur de l’échec une chance de durcir dans vos os. Remettez-vous debout pendant que la peur est fraîche.
La peur de l’échec ou la peur de ne pas être assez bon s’est-elle déjà installée ? Quelle action pourriez-vous entreprendre dès maintenant pour vous remettre dans le bain.
Quoi qu’il arrive, souvenez-vous de ceci : lorsque vous êtes mis à terre, cela ne signifie pas que vous êtes faible, stupide ou incapable. Cela signifie que vous êtes humain. Vous êtes courageux d’essayer encore et encore.
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