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La réduction mammaire n’est pas une intervention chirurgicale que n’importe quelle femme pourrait envisager. En effet, un ou plusieurs facteurs doivent être réunis pour faire de vous une candidate à une telle opération. Découvrez-les ici.
Dans quelles situations faire une réduction mammaire ?
La réduction mammaire est généralement envisagée dans un but médical, psychologique ou esthétique. En effet, les femmes qui ont recours à cette intervention sont souvent atteintes de :
- ptose (seins lourds et affaissés dont les mamelons pointent vers le bas) ;
- hypertrophie mammaire (seins excessivement volumineux) ;
- asymétrie mammaire (un sein plus gros que l’autre).
Ce sont des situations sources de complexe chez certaines femmes. Avec d’autres, cet état mammaire entraîne des douleurs dorsales de même que des difficultés à trouver des tenues à sa taille. Comme vous pouvez le lire sur ce site, la mammoplastie de réduction constitue la solution permettant de mettre fin à tous ces problèmes. La patiente retrouve une meilleure qualité de vie grâce à la diminution subie par vos seins.
À quel âge peut-on envisager une mammoplastie de réduction ?
Quand on parle du moment adapté pour faire une réduction mammaire, cela concerne non seulement les situations favorables, mais aussi l’âge propice. À ce propos, vous devez noter qu’il n’existe pas d’âge idéal pour pratiquer cette intervention chirurgicale. Dès que vous ressentez un certain inconfort en raison du volume important ou de la grande taille de vos seins, vous pouvez procéder à l’opération. Cependant, pour garantir la réussite de l’opération, il est préférable d’attendre que les glandes mammaires aient fini de se développer. Cette croissance ne s’achève qu’au-delà de 17 ou 18 ans.
Comment se passe une intervention de réduction mammaire ?
L’opération de réduction mammaire se fait sous anesthésie générale, et elle dure 2 à 4 h de temps. Elle est mise en œuvre par un chirurgien esthétique. Ce dernier va durant l’intervention effectuer des incisions. Celles-ci peuvent être verticales, en forme de T inversé ou de type péri-aréolaire. C’est en fonction du niveau de réduction voulu et de la taille normale des seins que le praticien va réaliser un choix. Par la suite, il enlève le surplus de peau, de graisse et de tissu glandulaire puis repositionne l’aréole de même que le mamelon avant de suturer les ouvertures faites. La satisfaction est aussitôt immédiate. Malheureusement, la réduction mammaire s’avère une intervention qui laisse des séquelles. Vous vous en sortez avec des cicatrices. Comparé au bien-être que vous obtenez en fin de compte, ce « risque » vaut la peine d’être pris.